Les langues faciles n’existent pas !

 

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Vous voulez apprendre une langue ? Mais tant qu’à faire, vous voudriez que cela soit facile, n’est-ce pas ? Aujourd’hui je vais vous dire comment faire pour apprendre une langue facile ou difficile. Mais en fait, une langue facile, ça ne veut rien dire ! Attention de ne pas tomber dans le piège, car les langues faciles n’existent pas. Voyons cela ensemble dès maintenant.

 

Langues faciles, pas faciles ?

 

Si vous êtes comme moi, vous êtes sans doute déjà tombé dans le piège. En démarrant l’espagnol, je me suis dit “alleeeez l’espagnol, fingers in the nose”, trop facile !

Je ne savais pas encore que j’allais bouffer beaucoup de conjugaison hihi. Je me suis fait avoir. Car en débutant de cette manière, je ne me suis pas facilité la course de l’espagnol. Je vous explique pourquoi dans un instant. À l’inverse, ce qui peut être surprenant, le russe jusqu’ici me paraît plus simple (je n’ai pas encore vu toutes les déclinaisons, d’accord ^^) . On voit ça tout de suite, mais je voulais rajouter qu’effectivement pour un francophone, il semble plus facile d’apprendre l’italien ou l’espagnol qu’une langue slave, mais cela n’est que la partie apparente de l’iceberg.

 

Je veux donc je peux

 

Oui c’est vrai. On constate beaucoup de similarités entre l’espagnol et le français. En cela, c’est plus simple pour nous d’apprendre cette langue. Mais je veux aller plus loin. Je vais vous montrer la partie inférieure de l’iceberg. En effet, il n’y a pas qu’une question de vocabulaire à prendre en compte.

On vous a déjà parlé de la puissance des mots ? Si c’est le cas, vous connaissez certainement notre cher ami Antony Robbins ? C’est un “motivational speaker’” qui souligne l’importance de notre langage. Je vous mets un extrait en dessous, vous pourrez en plus réviser votre anglais => double bénéfice 🙂

Je concorde à 100% avec cela dans le domaine des langues. Votre attitude et vos mots déterminent si la langue est facile ou difficile à apprendre. Ce n’est pas la langue qui est facile ou difficile, c ‘est nous qui l’a transformons. C’est à nous de nous adapter à elle. Oulah qu’est-ce qu’elle a encore fumé elle ?! Ahah J’avoue ce ne sont pas des sujets dont on vous parle habituellement dans le secteur langue. Mais justement c’est ce qui fait la différence avec les gens qui réussissent. Ils vont chercher des solutions différentes.

 

La facilité par la pensée positive

 

Vous connaissez ces personnes qui se plaignent tout le temps ? “Je suis fatigué, j’en ai marre, c’est chiant, c’est long, c’est trop dur, pfff” Arrrgh je ne supporte pas ! Je les fuis ces gens-là. Ça ne vous énerve pas ça, vous ? Perso, ça me donne envie de m’étouffer avec un oreiller en plume de canard. Bref, on n’est pas en Cour de cassation. Mais ce que je veux dire, c’est que pendant que ces personnes se concentrent sur le négatif, elles n’avancent pas.

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Si à l’inverse, vous vous dites “je suis capable, je veux, je peux”, votre cerveau va automatiquement se mettre en mode “action” et “recherche” de solution. Il se prépare. Faites gaffe à vous ! On devient la moyenne des 5 personnes qui nous entourent. Alors, si vous voulez être un winner, entourez-vous de gens positifs 🙂

Le rapport avec les langues faciles est que vous êtes l’unique personne à déterminer si une langue est facile ou pas. C’est votre attitude de départ qui façonne la course. Soit vous préparez un terrain lisse et plat soit vous avez mis des obstacles avant de commencer.

 

Elle a perdu un boulon

 

Vous allez me dire que je suis contradictoire dans mes propos. Je vous dis d’être positif, mais si on dit qu’une langue est facile ça va entraver le chemin ? Hum pas tout comprendre ?! Je m’explique, il faut d’une part être positif dans sa manière d’aborder le projet, avoir confiance en soi et se dire qu’on est capable. Parallèlement, il ne faut pas juger trop rapidement une langue, car cela va biaiser votre apprentissage.

Si vous pensez qu’une langue est difficile en démarrant, vous êtes sur la défensive et peut-être un peu craintif. Si à l’inverse vous vous dites que ça va être facile, vous allez vous faire mal au premier obstacle. Et, je vous jure qu’en espagnol, la conjugaison m’a donné des boutons. Alors qu’en russe il n’y a que 3 temps indispensables. Pour démarrer mon défi russe, comment l’ai-je abordé ? Simple, je me suis dit “je veux parler russe dans 365 jours” et c’est tout ce qui compte. Je suis focus 100% sur le résultat. Et ne me suis pas dit, ça va être difficile ou facile. Je me suis simplement dit: » je dois réussir ». Jusque-là ça fonctionne, je me sens bien dans mon défi 🙂

En bref, ne jugez pas. Restez neutre en abordant une langue. Néanmoins, soyez préparé. C’est-à-dire ? Voyons cela tout de suite.

 

Comment se préparer pour qu’une langue soit facile ?

 

Soignez votre attitude en abordant le projet d’apprendre une langue. Ah non, ça on l’a déjà vu. Pour bien démarrer, documentez-vous sur la langue. Faites en sorte de cibler les apparentes difficultés et les particularités de la langue. Car une langue n’est pas uniformément facile ou difficile. Il y a un équilibre entre chacune. Ce que je veux dire par là, est qu’il faut être prêt à rencontrer ces difficultés.

Par exemple : avant même de commencer l’espagnol : sachez que vous allez bouffer de la conjugaison à gogo, du “ser” et “estar” qui sont 2 verbes être mais à l’inverse la prononciation sera assez simple.

Si on prend le russe, les particularités sont : l’alphabet fait peur, mais n’est pas si complexe à apprendre. Les déclinaisons donnent des boutons, mais il existe des manières de les apprendre plus facilement. Les conjugaisons se résument en 3 temps : passé, présent, futur et il y a aussi beaucoup de mots en français dans la langue russe.

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Voici un bref échantillon, mais en sachant ce genre d’infos, vous serez prêts. Rien de plus désagréable, de découvrir le jour même l’obstacle à passer. Le cerveau a du mal avec cela. Si vous lui dites avant, il sera prêt. Il est comme les personnes qui détestent le changement, il a besoin d’un temps psychologique d’adaptation. Vous connaissez peut-être ces personnes qui sont perturbées quand leur tasse de café n’est pas au bon endroit, comme d’habitude, comme les 20 dernières années, et que si quelqu’un la bouge, cela mériterait une grève ?! Désolée si vous êtes dans cette catégorie, hihi, bon si ça peut vous rassurer, je suis une grande maniaque. Bref tout ça pour dire, qu’il faut ménager votre cerveau aux obstacles à venir. Documentez-vous, posez des questions à ceux qui la parlent.

 

Distance et langue

 

Il faut aussi voir la distance que nous avons avec la langue. L’environnement dans lequel on a été baigné va largement influencer notre rapport avec la langue.

C’est vrai quoi. ‘Fin c’est logique, si votre grand-père parlait Italien avec mémé pendant votre enfance, même si aujourd’hui vous ne pétez pas un mot d’italien, votre cerveau était bien présent et sera déjà en condition quand vous débuterez l’italien pour de vrai. Il a en quelque sorte assimilé les informations et préparé un tiroir vide pour ranger votre italien au moment venu.

Je voulais aussi ajouter qu’aucune langue n’est vraiment plus ou moins difficile, il s’agit de prendre tous ces facteurs en compte : l’environnement, l’attitude, la prédisposition, la distance. C’est pour cela que dire qu’une langue est facile, ne veut rien dire selon moi. Il y a trop de facteurs d’influence. D’ailleurs, je ne pense pas qu’il y ait une langue super hypra difficile de la montagne de l’Everest, à moins que je me trompe car je ne les connais pas toutes. Mais il paraît que le hongrois, c’est quelque chose.

 

Le mot de la fin : rien n’est impossible

 

C’est ma phrase préférée ! Quand je parle de la puissance des mots 😉 Les langues faciles n’existent pas !

Rien n’est impossible à qui se donne les moyens de réussir ! Le secret est de préparer le terrain en amont : de s’attendre aux difficultés, savoir les aborder et savoir que certaines particularités vont apparaître. Retenez cela :

attitude avant de démarrer = pensée positive = je veux réussir = la puissance des mots.

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